Le cortège officiel aurait pu emprunter la rocade Est pour admirer notre merveilleuse ville du haut des vignes, visiter le Centre historique et touristique, on aurait pu leur proposer un délassement dans notre belle piscine olympique et leur offrir comme divertissement après un bon repas autour des Français d’en-bas, soit une comédie dans le théâtre municipal ou un concert dans notre magnifique palais de la musique.
On peut rêver, les notes de frais sont limitées, les pourboires auront tout juste permis d’accrocher un drapeau français sur la façade de l’Ecrevisse où ils se sont enfermés.
La prochaine fois, parce qu’on n’a pas fini de les voir : le tour des régions de droite est vite fait, ils peuvent s’arrêter chez moi pour prendre un amer bière avec des bretzels. Ils seront les bienvenus.